mercredi 6 avril 2016

Estejam sempre alegres, orem sempre e sejam agradecidos a Deus

Muito obrigado, Senhor


Estejam sempre alegres, orem sempre e sejam agradecidos a Deus em todas as ocasiões. Isso é o que Deus quer de vocês por estarem unidos com Cristo Jesus. Não atrapalhem a ação do Espírito Santo. Não desprezem as profecias.” Primeira carta de Paulo aos Tessalonicenses 5.16-20.


1. Cáris -- favor, agradecimento, gratidão (graça); carma, encanto, charme (características amáveis). 

Em tudo diga muito obrigado. Será que a gente consegue? Como é qwue você diz muito obrigado? É fácil? É difícil? E por que muitas vezes sentimos que necessitamos dizer muito obrigado? Será por que somos bons? Ou por que temos necessidade de nos encher? E parece que o muito obrigado nos completa, nos enche de alguma coisa maior.

Dois modos de dizer muito obrigado:

O silencioso, introspectivo, uma oração de todo nosso ser. Ninguém vê, ninguém sabe, mas enche nossa alma de alegria.

O festivo, cheio de emoções visíveis, de movimentos e palavras. Todos vêem e são contagiados com a alegria de nosso ser.

2. Aparché -- sacrifício, primícias, onde uma parte é separada, entregue a Deus, e o restante fica livre para uso profano.

Exemplo. Irmãos, sempre devemos dar graças a Deus por vocês, a quem o Senhor ama. Pois Deus os escolheu como os primeiros a serem salvos pelo poder do Espírito Santo e pela fé que vocês têm na verdade, a fim de tornar vocês o seu povo dedicado a Ele.” Segunda carta de Paulo aos Tessalonicenses 2.13 

Aqui Paulo relaciona agradecimento com sacrifício, com oferta, com primícias. Diferente de thyô – sacrificar no sentido de abater, matar.

No Salmo 50, Deus diz que tipo de sacrifício Ele quer: “Que a gratidão de vocês seja o sacrifício que oferecem a Deus” (Salmo 50.14). 

Aqui está o sentido central da ação de graças, da gratidão, São atos de entrega das primícias. Emoções, sentimentos, ações, palavras são afastadas do sentido cotidiano, profano, para serem entregues a Deus. É um reconhecimento de que eu não me criei, fui criado, de que eu não me dei, recebi, de que eu não me pertenço, mas sou dEle. Nasci nu e não vou levar nada físico e material desse mundo. Por isso, o melhor que eu tenho ofereço a Ele.

3. Hagiós, hagizo -- santo, sagrado, consagrado. Aquilo que não é santo por si mesmo, mas recebe um convite para tornar-se santo. 

Tudo que Deus criou é bom e, portanto, nada deve ser rejeitado. Que tudo seja recebido com uma oração de agradecimento.Primeira carta de Paulo a Timóteo 4.4. No Novo Testamento a esfera do santo não está ao nível das coisas, nem ao nível do ritual, mas da vida. É ação do Espírito Santo sobre a pessoa. É um convite á adoração. É diferente de hiéros, que é santo ou consagrado por si mesmo.

O que agradecemos? Há limites para o agradecimento? Gratidão é consagração. Ação de graças, meu muito obrigado, deve ser traduzido enquanto entrega que produz, a partir de Deus, uma função especial, transformadora: transporta algo que pertence ao nível da realidade material para a esfera daquilo que é chamado a ser santo.

E como esta transformação se dá ao nível de minha vida, sou consagrado, elevado para representar aquilo que é divino. Nesse sentido não há limites para a ação de graças em minha vida. Sou grato por minha materialidade, meu corpo e suas funções e por tudo que meu ser pode expressar, quando consagrado pela Palavra de Deus.

4. Proscünéo -- adorar, beijar, dobrar os joelhos.

Em antigos relevos egípcios os adoradores com as mãos estendidas jogando beijos para a divindade. Beijar a terra, dobrar os joelhos. É um estado do ser. O primeiro beijo foi soprado por Deus no Éden. Por isso, o estado do ser humano pleno, cheio do Espírito, é adorar: agradecer ao seu Criador pela graça recebida. 

Não estamos separados da presença ativa de Deus. E podemos ver isso a cada momento. Nossos corações desejam adorar. Às vezes, sem o uso de palavras, outras vezes com palavras de louvor e gratidão. Estamos abertos ao poder da graça, que nos chega através de Jesus? Se estivermos abertos ao poder da graça, viveremos em estado de adoração, com vida, ações e palavras de gratidão, sacrifícios de louvor e consagração. 

Diga muito obrigado para Deus. Seja grato. Entregue a Ele o que você tem de melhor. Adore. Dê um beijo nEle.






mardi 5 avril 2016

Les limites de l'égalité et de la liberté: amour et l'unité

La grâce et la paix de Jésus Christ soient dans tous les cœurs. C'est une joie d'être avec nos frères et sœurs dans ce moment de fraternité chrétienne et de culte à notre Créateur, le Dieu éternel. Et je vous transmets les salutations chaleureuses de l'Église baptiste de Perdizes, de l'Ordre des Pasteurs baptistes du Brésil et de la Convention baptiste du Brésil à tous les présents, mais, en particulier, à l'Église baptiste de Montpellier. 


Notre sermon reçu un titre : 

Les limites de l'égalité et de la liberté: amour et l'unité
Pr. Jorge Pinheiro, PhD

Lorsque nous analysons les conflits vécus par les premières communautés chrétiennes de la Galatie, générées par les inégalités raciales et religieuses (juive / grec), sociale (esclave / gratuit) et le sexe (masculin / féminin), nous voyons que l'apôtre Paul propose une transformation radicale de la situation : l'unité de l'Église dans le Christ prenne les communautés chrétiennes à vivre dans l'égalité et la liberté. En fait, l'apôtre propose, en fin de compte, que les divisions entre les frères et sœurs, à venir la race, le statut social ou le sexe, n'existent pas dans les communautés chrétiennes. 

"Pour la foi en Jésus Christ, vous êtes tous des enfants de Dieu. Étant donné que vous avez été baptisés pour devenir unie avec le Christ et ainsi revêtu avec les qualités du Christ lui-même. Ainsi il n'y a aucune différence entre les Juifs et les Gentils, entre esclaves et hommes libres, entre les hommes et les femmes: vous êtes tous un, car ils sont en Jésus-Christ ". (Galates 3,26 à 28. Nouvelle traduction du New International Version, CFF).

Ces versets de l'apôtre Paul sont la clé pour comprendre la lettre aux Galates. Il est d'elle que Paul parle de la possibilité de surmonter l'inégalité raciale et religieuse, sociale et le sexe dans l'église. Et l'argument de la fondation de l'apôtre est l'unité dans le Christ qui permet à l'égalité et la liberté et qui conduit au corps de l'unité Christ.

Ainsi, Galates 3,26 à 28, coeur de la lettre aux Galates, est une proposition d'ouverture des frontières, le renversement de murs, de surmonter les conflits et les antagonismes qui divisent l'église.

Trois questions difficiles

Sans aucun doute, Paul présente les questions difficiles pour nous baptistes. Nous pouvons dire que les disparités économiques et sociales, ethniques et de genre sont présentes dans les églises, même si nous ne voulons pas ou sommes d'accord avec ces positions. Parfois, il est de la discrimination aux Afro-Brésiliens ou indiens brésiliens, il est parfois la discrimination aux frères migré des régions les plus pauvres, il est parfois la discrimination envers les pauvres ou même la répartition de nos sœurs, simplement parce qu'ils appartiennent au sexe féminin. Donc ce texte Paul a tellement pertinente que lors de l'Apôtre écrit. 

Parlez à la classe sur les inégalités raciales, dans le domaine social et le sexe de votre ville. Et, d'ailleurs, si elle existe également dans son église. S'il invite la classe de prier pour l'amour dans le Christ surmonte toutes les différences et les préjugés et de conserver l'unité de l'église.

Rappelez-vous de son peuple: 

"Saül est allé à Jérusalem et a essayé de rejoindre les disciples de Jésus. Mais tous avaient peur de lui parce qu'ils croyaient qu'il était aussi un disciple de Jésus ". Actes 9:26.

Le Nouveau Testament montre que les églises sont un plan de Dieu pour tous les êtres humains qui acceptent Jésus comme Seigneur et Sauveur. Cela signifie que même ceux qui sont différents, nous seront également appelés.

Le défi de l'égalité et de la liberté 

Nous sommes interpellés par ces deux questions, l'égalité et la liberté. Comme nous l'avons vu à l'époque de Paul, les contradictions dans les communautés du Nord Galatie ont été générées par les disparités raciales, sociales et de genre, mais l'apôtre Paul croyait qu'ils pouvaient être surmontés par l'amour et l'unité dans le Christ.

Le prêtre Antonio Vieira, un des plus importants prêcheurs en portugais, a dit dans le Sermon du Mandat (1643), que « l'amour ne sont pas des lieux syndicaux, mais de volontés ; endroits syndicaux l'extérieur, il avait été en mesure d'annuler la distance, mais comme union des volontés, il ne peut pas refroidir l'absence ". Il a expliqué que le plus grand de l'absence que nous avons est celle du Christ, qui est retourné vers le Père, mais qui est avec nous chaque jour par l'Esprit. Par conséquent, les distances ne peuvent pas nous séparer, si ce genre est, les distances géographiques, les différences raciales, le montant d'argent que nous avons dans la poche ou dans le compte en banque, le fait d'être homme ou femme, peut sembler séparations excessives, peut sembler distincte les corps et les vies, mais ne peut pas et ne doit pas diviser les cœurs. Ils peuvent parfois brouiller les yeux, mais ne peuvent pas refroidir l'amour.

Au 17e siècle, lorsque les premières églises baptistes en Angleterre, le pasteur John Smyth et William Dell, fondateur du Baptiste pensaient que pays, ont fait la différence en augmentant les drapeaux d'égalité et de liberté.

John Smyth et William Dell a défendu la liberté absolue de conscience et utilisés chaque occasion pour montrer qu'il n'y a pas le plan de Dieu que les gens avaient réduit leur liberté de conscience. Dell a constaté que l'usage de la contrainte par les Anglais contre les puritains de pouvoir monarchique, séparatistes et les baptistes étaient un acte nuisible qui ne vient pas du Christ parce que nous sommes tous égaux et donc sauvé par grâce. Mais aussi parce que nous sommes en Christ, libre devant Dieu. Libre d'adorer et de l'égalité parce que la vie de foi ne peut être au-dessus de nous, mais le Christ, le Fils du Dieu vivant.

Donc, ces deux hommes ont compris le message du Nouveau Testament, inspiré par Dieu. Et il est dans nos cœurs la proposition de Paul, qui a présenté le commandement de surmonter les barrières de race, de statut social, le sexe et a montré les Eglises de la Galatie et nous baptistes les fondations de l'amour et de l'unité, qui définissent les limites de l'égalité et la liberté.

Rappelez-vous de son peuple:

"Sur le chemin, il vit un eunuque éthiopien, qui revenait à son pays. Cet homme était un haut fonctionnaire, trésorier et administrateur de la reine éthiopienne de la finance ". Actes 8: 27-28.

L'Ethiopien était noir, un autre rapport à Felipe, mais il a demandé: « Comment puis-je, si quelqu'un ne me guide?". Et cet homme de culture, de couleur, pays différent cru quand l'évangile du royaume présenté.

L'eunuque accepté l'Évangile et a été baptisé. Alors, que dirons-nous à Dieu quand les gens différents, ils nous approchent? Certes, avec gratitude parce que nous sommes appelés à la communion et l'obéissance. Ainsi l'apôtre Paul dit qu'il y a « un seul Seigneur, une seule foi et un seul baptême," même si nous sommes différents les uns des autres. (Ephésiens 4.5).

De la réflexion à l'action

La portée du texte apostolique nous emmènons de la réflexion à l'action sur les trois thèmes qui sont imbriqués dans cette ouverture des frontières: l'égalité, la liberté et l'unité dans le Christ.

Donc Paulo nous oblige à repenser les questions ethniques, l'esclavage et le sexe, en extrapolant les murs de l'église et de présenter tous les chrétiens une proposition d'ouverture de la frontière où il aequalitate, parité, l'égalité des droits et des chances. Et libertate, de sorte que chaque personne peut avoir leur agence en règle des droits humains autonomes devant sa conscience et Dieu, comme son image, qui a garanti leur droit à l'existence et la vie.

Si la révélation est une conversation entre Dieu et l'être humain, dans le Christ, il est de ce dialogue que nous avons les bases pour savoir ce que Dieu veut que nous soyons: libres et égaux, unis pour l'amour du Christ. En ce sens, peu importe comment il est pourri l'être humain, peu importe comment abandonnés et victimes de discrimination sociale, mais il reste la liberté de conscience nécessaire pour accepter le dialogue proposé par le Créateur.

Les baptistes croient que la mission du peuple de Dieu est l'évangélisation du monde, pour la réconciliation de l'homme avec Dieu, indépendamment de la situation financière, sociale ou si elle est homme ou femme. Les disciples de Jésus et les églises ont été appelés à proclamer à travers l'exemple de l'amour et de l'unité dans le Christ et par la prédication de l'Évangile de la paix et de faire de nouveaux disciples du Christ dans toutes les nations ainsi. Il appartient aux Églises baptisent eux et leur apprenant à observer ce commandement de Jésus. Évangélisation et les missions se produisent lorsque nous vivons dans l'égalité et la liberté de l'église et de témoins de la foi à travers nos propres vies.

Rappelez-vous de son peuple:

Jésus lui-même qui nous a donné la ligne directrice: « Je suis le cep, vous êtes les sarments. Qui sont unis avec moi et moi avec lui, porte beaucoup de fruit, car sans moi vous ne pouvez rien faire ". Jean 15.5.

Jésus est la vigne, mais les fruits de la justice proviennent de communautés qui lui sont liés. Puissions-nous tous, unis à lui, les fruits produisent reconnus de la justice et la dignité. Ceci est-ce que Jésus attend de nous.

Ceci est le message de Paul aux baptistes brésiliens et françaises, mais aussi et principalement à notre camarade en Christ, Pr. André Sass Farias:

Si nous sommes un en Jésus-Christ - et qui est ce qui devrait être recherché - l'église ne peut pas être divisée entre Juifs et Palestiniens, entre les puissants et misérables, entre les hommes et les femmes.



La tradition baptiste

Deux aux trois choses qu’il connait d’elle 

Jorge Pinheiro

Il s'agit d'un malentendu au sujet des beaucoup de baptistes à penser que leur principale préoccupation est de l'administration du baptême. Les condamnations des baptistes sont basées essentiellement sur la nature spirituelle de l'Eglise et la pratique de la foi ne se pose que dans le baptême en tant que corollaire de cela et à la lumière de l'enseignement NT. La position théologique repris par les baptistes peuvent être présentées comme suit.


La composition de l'Eglise 

Conformément à l'église baptiste de conviction est composé de ceux qui sont nés de nouveau par le Saint-Esprit et qui ont été portés à l'épargne personnelle et la foi dans le Seigneur Jésus-Christ. Une connaissance directe et vivante avec le Christ est, par conséquent, être tenues pour fondamentales.

Appartenance à l'église

L'appartenance à l'Eglise du Christ n'est pas basée sur l'accident ou de privilège de naissance, soit dans un pays chrétien ou dans une famille chrétienne. Baptistes donc répudier anglicane et presbytérienne et vue en supprimant le membre de phrase "avec leurs enfants" de la définition de L'église. Positivement, cette église est tenu de l'adhésion indique que l'église est entré volontairement et que seuls les croyants peuvent participer à son ordonnance. Tous les membres sont égaux dans le statut même si elles varient en cadeaux.

La nature de l'Église 

À la différence des églises de la nature institutionnelle ou territoriale, le Baptiste conviction s'exprime dans le concept de "l'Eglise rassemblée". Les membres de l'Église sont unis par Dieu dans une vie de fraternité et de service sous la seigneurie du Christ. Sa Les membres sont engagés à vivre ensemble sous ses lois et à entrer dans la bourse créée et maintenue par l'Esprit Saint.

Ainsi, bien que l'église invisible se compose de tous les rachetés, au ciel et sur la terre, du passé, le présent et l'avenir, il peut être vraiment dit que là où les croyants vivent ensemble dans la fraternité de l'Évangile et dans le cadre de la souveraineté du Christ, il n'y a l'église.

Gouvernement de l'Eglise 

L'Église locale est autonome, et ce principe de gouvernement est parfois décrit comme le "congrégations ordre des églises." Baptistes croient à la compétence de la bourse locale pour régir ses propres affaires, et en raison de l'importance théologique de l'Eglise locale. Contrairement aux systèmes épiscopal et Réformées de gouvernement d'église, les baptistes ne parle pas de la dénomination de « l'Église baptiste », mais comme « les églises baptistes " dans n'importe quel domaine.

La conviction baptiste est que l'Eglise n'est pas d'être régis par un ordre de prêtres, ni par les tribunaux supérieurs ou central, mais à travers la voix de l'Esprit Saint dans le cœur des membres de chaque assemblée locale. Considérant que, dans un strict ordre démocratique Gouvernement de l'église il y aurait un gouvernement de l'église par l'église baptiste de la position reconnaissance de la règle du Christ dans l'Église par le biais de l'église.

L'ordre de la congrégation des églises, c'est-à-dire, le gouvernement de l'Eglise à travers l'esprit de la congrégation locale, ne doit pas être assimilée à la notion humaniste de la démocratie.

L'indépendance d'une église baptiste a trait au contrôle de l'État, et les Baptistes du XVII e siècle en Angleterre étaient dans le premier rang de ceux qui ont combattu pour cette liberté. Les baptistes ont toujours reconnu la grande valeur de l'association entre les églises et les associations des églises baptistes ont été caractéristiques de la vie de Baptiste au cours des siècles. Toutes ces associations sont volontaires, cependant, et l'erreur ne doit pas être faite de l'hypothèse que l'Union baptiste ou de l'Alliance baptiste mondiale coïncide avec la communauté baptiste.

Les ordonnances de l'Église 

Ceux-ci sont normalement parlée des deux, à savoir, les croyants "le baptême et la Cène du Seigneur, mais il serait plus correct de parler de trois et à inclure l'ordonnance de la prédication.

Les Baptistes ont normalement préférable d'utiliser le mot "ordonnance" plutôt que de "sacrement" en raison de certaines idées sacerdotal que le mot «sacrement» a recueillies à elle-même.

Le mot "ordonnance" points d'ordonner à l'autorité du Christ qui se cache derrière cette pratique. Baptistes ce qui concerne la Cène du Seigneur peu après la Zwinglien. Le pain et le vin sont les jetons divinement donné de la grâce salvifique du Seigneur », mais la valeur de Le service se trouve beaucoup plus dans le symbolisme de l'ensemble que dans les éléments de la réalité "(Dakin).

Henry Cook écrit: «Être symbolique de faits qui constituent le cœur de l'Évangile, ils (les ordonnances) éveiller l'âme dans le croyant de tels sentiments d'admiration et d'amour et de prière que Dieu est capable de Son Esprit pour communiquer lui-même dans une vivifiante et enrichissante Son expérience de la grâce et de puissance ».

Les Baptistes reconnaître que les ordonnances sont donc un moyen de grâce, mais pas autrement que ce qui est aussi la prédication de l'évangile. Le poste a été incarné en disant que les ordonnances sont un moyen de grâce, mais pas un moyen de grâce spéciale.

Il fait également partie de l'Baptiste position sur ce sujet que les croyants "le baptême et la Cène sont église ordonnances, c'est-à-dire, ils sont congrégations plutôt que d'actes individuels. Médiation sacerdotale est odieuse pour les baptistes et méprisant à la gloire du Christ, Qui est le seul prêtre.

Ministère de l'Eglise 

Le ministère est aussi large que la bourse de l'église, mais pour les besoins de leadership, le terme «ministère» a été réservé à ceux qui a la responsabilité de supervision et de l'instruction.

Les Baptistes ne crois pas à un arrêté ministériel dans le sens d'une caste sacerdotale. Le ministre baptiste n'a pas de "plus" de grâce que celui qui n'est pas d'un ministre, il ne résiste pas toute proche de Dieu, en vertu de sa position officielle ne fait que les plus modestes membres de l'église. Il y a des cadeaux divers, toutefois, et il est reconnu que le don du ministère de la grâce de Dieu, comme Paul lui-même a laissé dans Eph. 3:8.

Un pasteur baptiste devient si en vertu d'un appel de Dieu vers l'intérieur qui, à son tour, reçoit une confirmation de l'appel vers l'extérieur d'une église. Les pasteurs et diacres sont choisis et nommés par l'Eglise locale, même si leur désignation est souvent faite dans le contexte plus général de la bourse des églises baptistes.

Reconnaissance publique de cet appel de Dieu est donnée dans un service de coordination, qui l'ordination, quand elle a lieu, ne confère aucune sorte de supériorité ou de ministres, mais de grâce ne fait que reconnaître et régularise le ministère dans l'église elle-même. L'importance de la coordination réside Dans le fait que l'église elle-même prêche par l'intermédiaire du ministre, et, bien que l'ordination n'est pas destinée à emprisonner l'action de l'Esprit Saint dans les limites d'une ecclésiastique ordonnés prédicateurs, il y a néanmoins une importance considérable attachée à la cause de ceux qui ont l'autorisation Sont à parler au nom de l'église.

Œcuménicité de l'Eglise 

On pourrait croire que l'idée de l'unité serait étrangère à baptistes, donné leur point de vue sur une forte indépendance et leur doctrine de l'autonomie de l'église, mais tel n'est pas le cas. Tout dépend de ce qu'on entend par unité.

Pour les Baptistes l'unité peut signifier l'une des trois choses: l'union organique, qui est généralement regardé de façon défavorable sur la coopération avec les autres confessions, ce qui est encouragé dans les limites prescrites, et la coopération avec d'autres baptistes, qui est presque parfaitement acceptable.

Les organisations Baptistes sont en grande partie bénévole, les initiatives de coopération qui n'ont pas de force juridique contraignante sur leurs membres. Cela fait partie de la philosophie Baptiste, permettant une action concertée et de la liberté d'exister en même temps. D'où les valeurs unitaires (et ils sont nombreux) n'existent pas comme des unités, mais sont simplement des collections d'églises baptistes. 

E F Kavan EF Kavan 
Elwell Evangelical Dictionary

Bibliographie

A C Underwood, History of English Baptists; 
H W Robinson, Baptist Principles; 
H Cook, What Baptists Stand For; 
A Dakin, The Baptist View of the Church and Ministry; 
O K and M Armstrong, The Baptists in America; 
R G Torbet, A History of the Baptists; 
S L Stealey, ed., A Baptist Treasury; 
W S Hudson, Baptists in Transition; 
T Crosby, The History of the English Baptists. 
AC Underwood, Histoire des baptistes anglais; 
HW Robinson, baptiste principes; 
H Cook, Stand Pour Que baptistes; 
Un Dakin, The Baptist Vue de l'Eglise et du ministère; 
OK et M Armstrong, Les baptistes en Amérique; 
RG Torbet, A History of Les baptistes; 
FR Stealey, éd., A-Baptiste Trésor; 
ETAIT Hudson, les baptistes en transition; 
T Crosby, L'histoire de l'anglais baptistes.

Le spectre du rouge

Une lecture théologique sur le socialisme dans le
Parti du travailleurs à partir de Paul Tillich et Enrique Dussel
Jorge Pinheiro


Avec la fondation du Parti des Travailleurs, pour les militants de la nouvelle gauche brésilienne, le rêve d'un avenir socialiste pour le pays devenait réalité. Mais, en y regardant de près, il est clair que le PT a brisé les schémas des partis ouvriers, non seulement pour être un amalgame de tendances, mais aussi par la fort présence chrétienne. Et puis vint la question : qu'est-ce qu'est ce parti ? 

C'est à partir des analyses théologiques développées par Paul Tillich, que nous essayons de construire dans cette thèse une nouvelle façon d'expliquer la naissance du Parti de Travailleurs et l'importance de la pensée sociale chrétienne dans leur formation et leur développement. Pour le cadre théorique, nous avons fait recours de deux auteurs, Paul Tillich et Enrique Dussel. 

Les textes socialistes et les concepts de la théologie de la culture de Tillich, ainsi que des approches sur la religion infra-structurelle et sur le facteur religieux dans le processus révolutionnaire latin-américain développés par Enrique Dussel ont guidés notre lecture méthodologique. Le projet de recherche porte donc sur le socialisme dans le Parti des Travailleurs : à partir d'une approche théologique, la thèse montre l'importance de la Théologie dans le débat interdisciplinaire sur le socialisme dans le Parti des Travailleurs. 

De toute façon, l'inclusion de la Théologie dans l'analyse critique de la construction de la pensée socialiste dans le Parti des Travailleurs, sans nier l'importance des dialogues interdisciplinaires, élargit l'horizon de la compréhension des études sur la politique, le christianisme et le socialisme au Brésil et montre ainsi que l'importance de l'approche comparative représenté par la présence de la Théologie dans des sujets comme la politique et le socialisme. La recherche bibliographique primaire et qualitative s'appuie sur des documents officiels des réunions et des congrès du Parti des Travailleurs, ainsi que des articles, des éditoriaux et des entretiens publiés par la presse partisane et non partisane.













lundi 4 avril 2016

Para minha mãe

À moda antiga, 
muito antiga, para minha mãe (JP)


Estes meus olhos nunca perderam, 
Maria, grande coisa, mesmo porque é ilusão. 
E, direi, minha formosa senhora, 
destes meus olhos a coisa que anseio: 
choram e cegam como alguém que vê. 

Mas os meus olhos, por alguém ver, 
choram e cegam, quando alguém não vem, 
e ora cegam por alguém que vê. 
E como a outra, 
a mãe não depende de um homem 
e o pai deixou de ser pai. 

Cuidado tem de nunca perder, 
meus olhos e meu coração, 
e estas coisas, Maria, são coisas minhas. 
E seu nome à outra envia, 
aquela que gerou o pai. 
A mocinha de Belém, 
théotokos.


samedi 2 avril 2016

The Birth of Jesus



The nativity story...
the birth of our savior Jesus Christ!

Religião e relações internacionais na construção do Partido dos Trabalhadores

Seminário de Estudos Inter-religiosos / Religião e Política 
Faculdade Teológica Batista de São Paulo
Segundo semestre de 2016 – Agosto/ Dezembro 

Mini- curso
Religião e relações internacionais na construção do 
Partido dos Trabalhadores no Brasil -- Agosto/Setembro

Coordenação do Seminário
Prof. Dr. Jorge Pinheiro dos Santos
É Pós-Doutor em Ciências da Religião pela Universidade Metodista de São Paulo (2011) e pela Universidade Presbiteriana Mackenzie (2008), Doutor em Ciências da Religião pela Universidade Metodista de São Paulo (2006), Mestre em Ciências da Religião pela Universidade Metodista de São Paulo (2001) e Graduado em Teologia pela Faculdade Teológica Batista de São Paulo (2001). É professor de tempo integral na Faculdade Teológica Batista de São Paulo e Jornalista Profissional. Atua na área de Ciências da Religião, com especialização nas relações entre religião e política, e filosofia, teologia e cristianismo. 


Currículo Lattes / CNPq
Jorge PINHEIRO dos Santos http://buscatextual.cnpq.br/buscatextual/busca.do#
E-mail: jorgepinheiro.sanctus@gmail.com
FaceBook: Jorge Pinheiro / https://www.facebook.com/profile.php?id=100004812210748 Blog: jorgepinheirosanctus.blogspot.com.br 

Ementa e proposta do curso 

A religião e mais precisamente o cristianismo foram componentes fundamentais na formação do pensamento socialista do Partido dos Trabalhadores. Esse fato histórico, que estudaremos neste seminário, tem dois desdobramentos: em primeiro lugar, o pensamento socialista europeu, em especial o trabalhismo, fruto das relações internacionais de muitos de seus fundadores, esteve presente na construção desse partido brasileiro. E em segundo lugar, a experiência cristã vivida na Europa, a partir do Concílio Vaticano II e dos levantes das igrejas na América Latina, também marcaram a construção pensamento socialista do Partido dos Trabalhadores. Donde a questão a estudar e pesquisar é qual o sentido da religião e das relações internacionais para um partido socialista que se formou desta maneira? 

A partir da hipótese central, e de seus dois desdobramentos, em nosso Seminário trabalharemos com duas outras hipóteses, de caráter mais factual e histórico, de que um tipo de socialismo religioso predominou no conjunto do pensamento do Partido dos Trabalhadores, fazendo com que as propostas marxistas e leninistas de organização partidária e de transformação radical da sociedade, fundamentadas na teoria da luta de classes e da tomada violenta do poder, fossem deslocadas no correr dos primeiros vinte anos de construção do novo partido. 

Assim, tal socialismo deixou de defender o partido único, o centralismo democrático, a ditadura do proletariado e a tomada violenta do poder. E passou a levantar a bandeira da expansão da democracia e da solução de problemas brasileiros historicamente pendentes, como a questão da terra, do trabalho e da liberdade cidadã, porque a visão cristã de justiça social foi a que prevaleceu no ideário socialista do pensamento petista. 

Analisar tais hipóteses, e procurar responder o que o socialismo do Partido dos Trabalhadores tem a ver com a religião e a situação internacional do último quarto do século vinte, nos abre perspectivas de compreensão, ou seja, de saber em que medida o desenvolvimento do pensamento socialista dentro do Partido dos Trabalhadores nos ajuda a explicar o momento atual da crise política brasileira.

Bibliografia 

DUSSEL, Enrique 
Caminhos da Libertação Latino-Americana, 4 volumes, São Paulo, Paulinas, 1984. 
Las metáforas teológicas de Marx, Navarra, Editorial Verbo Divino, 1993 
Teologia da Libertação, um panorama de seu desenvolvimento, Petrópolis, Vozes, 1999. 
Ética da Libertação na idade da globalização e da exclusão, Petrópolis, Vozes, 2000. 

TILLICH, Paul 
Christianisme et Socialisme, Écrits socialistes allemands, 1919-1931, Paris, Genebra, Québec : Les Éditions du Cerf, Éditions Labor et Fides, Les Presses de l’Université Laval, 1992. Christentum und Soziale Gestaltung, Gesammelte Werke II, Evangelisches Verlagswerke Stuttgart, 1962. Trad. fr., Nicole Grondin e Lucien Pelletier, 1992. 
Écrits contre les nazis, 1932-1935, Paris, Genève, Québec : Les Éditions du Cerf, Éditions Labor et Fides, Les Presses de l’Université Laval, 1994. Christentum und soziale Gestaltung. Frühe Schriften zum religiösen Sozialismus, Evangelisches Verlagswerk Stuttgart, Gesammelte Werke II, 1962. Trad. fr. Nicole Grondin e Lucien Pelletier. 
La dimension religieuse de la culture, 1919-1926, Paris, Genebra, Québec, Les Éditions du Cerf, Éditions Labor et Fides, Les Presses de l’Université Laval, 1990. Trad. fr., Nicole Grondin e Lucien Pelletier, 1992. 
“Le Socialisme: Une question pour l’Église” in Christianisme et Socialisme, Écrits socialistes allemands (1919-1931), Paris, Genebra, Québec, Les Éditions du Cerf, Éditions Labor et Fides, Les Presses de l’Université Laval. Artigo publicado em Berlim, Gracht, em 1919. “ Der Sozialismus als Kirchenfrage ”, Christentum und Soziale Gestaltung, Gesammelte Werke II, Evangelisches Verlagswerke Stuttgart, 1962, pp.13-20. Trad. fr., Nicole Grondin e Lucien Pelletier, 1992. 

PINHEIRO, Jorge
• Teologia e Política, Paul Tillich, Enrique Dussel e a Experiência Brasileira, Fonte Editorial, São Paulo, 2006. 

PINHEIRO, Jorge e PINHEIRO, Naira
• Ciências da Religião, reflexões para hoje, Fonte Editorial, São Paulo, 2014. E também 

OLIVEIRA, Isabel Ribeiro de 
• Trabalho e política. A origem do Partido dos Trabalhadores. Petrópolis, Vozes, 1988. 

PEDROSA, Mario
• Sobre o PT. São Paulo, Ched Editorial, 1981. 

PETITFILS, Jean-Christian
• Os Socialismos Utópicos, São Paulo, Círculo do Livro. 

POMAR, Wladimir
• Quase lá: Lula, o susto das elites. São Paulo, Brasil Urgente, 1990. 

PORTELLI, Hugues 
Gramsci e o bloco histórico, Rio de Janeiro, Paz e Terra, 1977. 
Gramsci e a questão religiosa, São Paulo, Edições Paulinas, 1984. 

PORTELLI, Hugues e ARCADIAS, Yves (Org.) 
• L'Internationale Socialiste, Paris, Les Editions Ouvrieres, 1983. 

POULAIN, J. (org),
• A Social-democracia hoje, Rio de Janeiro, Ed. Civilização Brasileira, 1980. 

PRZEWORSKI, Adam 
• Capitalismo e social-democracia, São Paulo, Ed. Cia. das Letras, 1988. 



vendredi 1 avril 2016

Livre arbítrio

É bom lembrar que o livre arbítrio é um princípio do judaísmo desde a construção dos textos antigos. Assim, Deuteronômio nos diz "e você vai praticar o que é certo e bom aos olhos de Eterno, para alcançar a felicidade ..." (6.18). Tal princípio é uma idéia-chave na tradição judaica, um pilar da Torá e está presente nos trabalhos do exegeta judeu Moisés Maimônides -- Mishnah Torah Hilkhote Teshuvah 5.3.


Na verdade, é a pedra angular de todos as correntes judaicas, pois compreende que o Eterno deu essa liberdade ao ser humano quando o criou, fornecendo a ele o poder de saber escolher entre o certo e o errado. Confiante na sua criatura, Ele espera que o ser humano naturalmente escolha o bem, ou como diz Eclesiastes, "o Eterno criou o homem certo" (7.29). 

Se em relação a toda a criação, o Eterno disse ki tov --porque é bom – em relação ao humano omitiu tal afirmação. Esta omissão atesta a idéia de que o humano tem em si a possibilidade de escolha de fazer o bem ou o mal, e de reparar os erros cometidos, por ato de desejo intenso, e assim se livre dos grilhões que impedem o seu ser de crescimento, ao fazer dele escravo de sua própria natureza. O conceito de teshuvá, de voltar para o que você deve ser e para o Eterno, traduz esse princípio judaico.

"Mas se o ímpio se converter de todos os pecados que cometeu... praticar a lei e virtude, viverá..." (Ezequiel 18.21). E Simeão ben Zoma diz: "quem é forte? aquele que domina suas paixões?" Quem domina suas paixões supera o guerreiro que domina uma cidade ". (Provérbios 16.32 e A ética dos Pais 4.1).

Assim, o Eterno sabendo que Abel corria perigo, após a recusa de ofertar como Caim, apelou para a consciência do irmão mais velho. "Se você fizer o melhor, o bem vai até você, se o pecado jaz à sua porta, ele deseja a chegar até você, mas você, deve saber dominá-lo" (Gênesis 4.7).

De acordo com Maimônides, "dois caminhos se encontram nas mãos do homem e ele é livre para ir aonde ele quer, nada impede, nem homens nem anjos". E o Gaone Vilna explica que o livre-arbítrio implica exceder nossa natureza, o que é possível na contínua luta entre forças opostas. E tal idéia está explícita quando o Eterno nos diz "Eu dou hoje uma bênção e uma maldição" (Deuteronômio 11.15). Um primeiro nível de conhecimento do bem e do mal está no coração humano e o leva à sabedoria, onde saber distinguir entre o bem e o mal se torna o prêmio no conhecimento iluminado pelo Eterno.

Mas não nos enganemos. A moralidade não é escolher entre o bem e o mal. Todo mundo decide ser bom, mesmo as pessoas que são más e desprovidas de sentido moral. Hitler tinha concluído que os judeus eram os inimigos da humanidade e, portanto, em sua mente, pensando assim fazia o que era bom. Mas, na verdade, o livre arbítrio é a escolha entre a vida e a morte. Como está escrito na Torah, "Eu pus diante de ti a vida a morte... Escolhe a vida e viverás, então, tu e tua descendência". (Deuteronômio 30.19)

Mas os sábios judeus se fizeram uma pergunta, o humano é completamente livre em seus pensamentos, palavras e ações? Ele pode reivindicar a conquista da felicidade perfeita? Não! Ele está sujeito, por um lado, às restrições internas adquiridas pela educação e ditados pelo subconsciente escravizado por necessidades triviais, e em segundo lugar, pelas normas impostas pelo ambiente. Por isso, livre arbítrio é uma chamado para que ele domine suas forças internas e impulsos.

E na sequência perguntaram: quais os limites do livre-arbítrio? E porque o Eterno não intervém para por fim à iniquidade e parece indiferente à dor humana? "Por que você me deixa ver a iniquidade, e porque testemunha à injustiça?" (Habacuque 1.3). E a ética dos Pais 3.15 diz: "Quando violamos a justiça humana em face do Altíssimo, quando o é mal feito para o homem no seu pleito, o Senhor não vê isso? Quem vai dizer que algo acontece sem que o Senhor ordene? Não é a vontade do Altíssimo fazer surgir o mal e o bem?"

Como a vontade divina, que gera a história deste mundo, está conciliada com a idéia do livre arbítrio? E mais uma vez a Ética do Pais nos orienta: "O mundo é julgado com benevolência e tudo depende da maioria das obras" (3.15). Ou seja, se a liberdade de ação dos seres humanos parece absoluta, a escolha a preferir a vida à morte, de fato, nos é ordenada pelo Eterno: escolha a vida.

Assim, as questões éticas no judaísmo repousam menos sobre a questão do determinismo, ou como o filósofo judeu Yitzchak ben Yehuda Abravanel esclarece, apoia-se em um caminho que conduz à melhoria do ser humano. Toda a bondade e a perfeição do ser humano repousam sobre o livre-arbítrio e sua habilidade sincera em reparar a falha cometida. A culpa de Caim, depois que matou seu irmão Abel, reside na sua recusa em aceitar a oportunidade oferecida pelo Eterno, de arrependimento, de reconhecimento do erro e confessar, de acordo com o princípio do livre arbítrio, a sua responsabilidade. Caim, sujeito à sua natureza cruel, ao contrário, levanta a questão: sou eu o guarda do meu irmão?

Paradoxalmente, a perfeição, longe de ser o resultado de uma vida sem falhas, é sim uma expressão do poder do livre-arbítrio para distinguir o certo do errado. "Dependo do Eterno, exceto do medo do Eterno" (O tratado das bênçãos, Bérakhote 33). "O homem foi criado apenas para deleitar-se com o Eterno e apreciar o esplendor da sua presença", disse o sábio Chaim Luzzatto, em sua Méssilate Yesharim. Na verdade, escravo é aquele que, privado de toda a liberdade de pensamento, está proibido de ação autônoma.

Vejamos um exemplo, o faraó, negou o conhecimento primeiro, ignorou essa tselem Elohim, a imagem de Deus nos filhos de Israel e no humano em sua dimensão universal, por isso foi punido, perdendo o direito ao livre-arbítrio. Gênesis 1.26. Isto se dá porque nas primeiras cinco pragas do Egito, o Eterno diz claramente ao faraó que ainda há tempo para libertar os filhos de Israel. Mas foi em vão, porque o "faraó endureceu o seu coração". E no correr das outras cinco pragas, faraó se torna escravo de si mesmo. "Meu rio é meu, sou eu que me fiz". Ele afasta de si a sua própria consciência e não retorna a ela. Nega sua imago Dei, rechaça sua consciência, faz sua opção pelo mal... E esta realidade é traduzida com a expressão, "o Eterno endureceu o coração de faraó".


Onde o humano decide ir, o Eterno o conduz. Ele paga "a cada um segundo os seus caminhos e de acordo com o mérito de suas obras" (Jeremias 32.19). Assim, os filhos de Israel provaram sua maturidade e mostraram sua grandeza ao firmar a decisão de deixar a escravidão. Esse é o ponto de referência. E no seu livre-arbítrio: "tomaram para si um cordeiro, e o sangue foi um sinal para todo o povo". Dessa maneira, o Eterno nunca impõe aos seres humanos a liberdade; eles têm a responsabilidade de aceita-la e impô-la. O Eterno elege aqueles que optam por agir como serres humanos livres.

E como conclusão, recorremos a Maimônides: "... o homem tem o poder absoluto para agir naturalmente por seu livre arbítrio e sua vontade" (Guia dos Perplexos 3.17). E porque "a felicidade decorre do esforço humano" (A ética dos Pais), o livre-arbítrio é o esforço que só os seres humanos são capazes de fazer e que lhes permite distinguir a vida da morte. 






Política e responsabilidade social

Um texto de 2010, para nos trazer à memória uma tarefa histórica

Política e responsabilidade hoje no Brasil
Prof. Dr. Jorge Pinheiro

Diante da vergonha de evangélicos corruptos, de votos mercadejados no púlpito, da Palavra deturpada e enlameada por lobos travestidos de cordeiros, faço uma pergunta -- afinal, que relação existe entre o presente e o espírito crítico e transformador do protestantismo? 


E exorto homens e mulheres de boa vontade a uma reflexão sobre o que significa o presente enquanto desafio político para os protestantes brasileiros.


Bem, falar do presente, em primeiro lugar, significa dizer que vamos de uma contingência a algo diferente, que pode ser inferior ou superior, mas nunca igual. 

O presente é sempre parte de uma situação mais geral e está enquadrado no caminhar de um processo. E para fazer a leitura do presente pode-se recorrer à análise histórica, à avaliação crítica ou à construção filosófica. Algumas vezes, porém, algum desses elementos falha. Por isso, não basta observar o presente. Estamos excessivamente ligados a ele, o que pode nos levar a escorregar num julgamento do aqui e agora e esquecer que devemos estar voltados para o futuro.

O momento é importante, mas transformar o exame do presente em apreciação subjetiva é realizar uma redução, é ver a situação como totalidade e permanência. Olhando assim colocamos a situação num patamar muito elevado e a perspectiva que temos se torna global, apesar de seu caráter individual e limitado.

Tal análise do presente pode levar a uma ampla aprovação e tocar emocionalmente setores expressivos de comunidades inteiras. Esta é uma maneira de ver, mas é irresponsável, mesmo quando apresenta análises de conjuntura e perspectivas para o futuro. E por que irresponsável? Por não aceitar suas responsabilidades. Por não reconhecer os limites daquele que observa, assim como de seu próprio horizonte. 

Mas se existe um nível mais amplo do que este analisado, somos levados a falar da situação do presente como possibilidade. Mas é possível chegar a tal patamar de observação? Caso exista um ponto de vista mais amplo, a partir do qual se posicione um observador do presente, ele precisa estar livre das amarras do historicismo.

Busque a justiça

Voltem para Deus todos os humildes deste país, todos os que obedecem às leis de Deus. Façam o que é direito e sejam humildes. Talvez assim vocês escapem do castigo no Dia da ira do SENHOR. (Sofonias 2.3). 

Pode-se dizer que pessoas, militantes e revolucionários, souberam interpretar uma época dada. Eis aqui o ponto de intersecção entre o presente e o espírito crítico e transformador do protestantismo. Seguindo a trilha aberta, é possível afirmar que o protestantismo radical traduz inquietude e descontentamento em relação aos acontecimentos sociais concretos. 

Há uma busca ética de respostas entre o protestantismo radical e a ação consciente do intelectual orgânico. Ambos representam determinada comunidade, têm função superestrutural e, apesar de sua organicidade, precisam exercer autonomia em relação às pressões sociais que sofrem. É dessa postura que nasce a força crítica e a compreensão de que diante da realidade há alternativas diferentes daquelas expressas pelo poder. 

O protestantismo radical diante do presente não pode ser apreendido a partir da leitura do apresentado no passado, porque procura uma compreensão que não possa ser abalada. E essa interpretação não pode estar pousada sobre experiência própria e nem mesmo sobre a história da Igreja.

Pratique a justiça

O SENHOR já nos mostrou o que é bom, ele já disse o que exige de nós. O que ele quer é que façamos o que é direito, amemos uns aos outros com dedicação e vivamos em humilde obediência ao nosso Deus. (Miquéias 6.8). 

Mas um terceiro elemento deve ser levado em conta: a tendência dialética do protestantismo radical, que se expressa de forma paradoxal, ao fazer a crítica de pontos de vista estabelecidos. 

Quando analisamos o protestantismo a partir desta problemática, vamos constatar que ele não testemunha em benefício do presente, mas profere um não ao presente. Um não amplo, já que não critica cada detalhe do presente, e também por não discordar inteiramente do presente. Ao renunciar a um não de cada detalhe do presente, apresenta um sim às conquistas e vitórias obtidas no processo. 

O individualismo e o criticismo se transformaram, quando analisamos o presente, em movimentos reacionários. Mas estão, muitas vezes, sob a proteção de religiosidades cujas essências e mensagens consistem em declarar um não para tudo que está no presente. 

O espírito crítico e transformador do protestantismo radical está envolvido no presente concreto, tem a coragem de decidir e colocar-se sob julgamento, ao nível do particular. E é a partir dessa compreensão do que significa o espírito crítico e transformador no tempo, que nos remetemos às três posições que definem diferentes compreensões do presente. Primeiro, vamos analisar duas: a concepção conservadora e a concepção progressista, que se apresentam com variáveis e modulações. 

A concepção conservadora admite o surgimento do criativo e da novidade no tempo, mas considera que isso aconteceu no passado. Por essa razão nega toda mudança, presente ou futura. A força dessa concepção repousa no fato de que considera o criativo e a novidade como dados e não como resultados da ação cultural e social do ser humano. 

A concepção conservadora também reconhece necessidade e transformação como componentes do presente, mas também os situa no passado. Desconsidera que se aconteceu no passado, necessidade e transformação se revelam em todas as positividades e negatividades do passado, do presente e futuro. Sob tal visão repousam os conservadorismos. Perderam o sentido de necessidade e transformação.

Faça o bem, atenda à justiça, repreenda ao opressor 

Aprendam a fazer o que é bom. Tratem os outros com justiça; socorram os que são explorados, defendam os direitos dos órfãos e protejam as viúvas. (Isaías 1.17).

A concepção progressista considera necessidade e transformação alvos a serem projetados no futuro, existentes em cada época, mas que não se apresentam enquanto irrupção no presente. Assim, os tempos tornam-se vazios, sem decisão, sem responsabilidade. Na concepção progressista existe uma tensão diante do que foi. Mas a consciência de que o alvo é inacessível aqui e agora a debilita e produz um compromisso continuado com o passado. A concepção progressista não oferece nenhuma opção ao que está dado. Transforma-se em progresso mitigado, em crítica pontual desprovida de tensão, onde não há nenhuma responsabilidade definitiva. 

Este progressismo mitigado é a atitude característica da sociedade burguesa. É um perigo que ameaça constantemente, é a supressão do não e do sim incondicional às questões concretas. É o adversário do protestantismo radical.

Conservadorismo e progressismo, reação e progresso, estão entrelaçados na consciência do presente que surge enquanto necessidade e transformação. E é esse entrelaçamento que leva a um terceiro caminho.

E o terceiro caminho é a utopia. Sem o espírito utópico não há protesto, nem crítica radical. A utopia quer responder às necessidades e transformar o tempo, mas esquece que criatividade e novidade não abalam todos os tempos e todos seus conteúdos. É por isso que a utopia leva, necessariamente, à decepção. Assim, o resultado da utopia desencantada é o deslumbramento sem compromissos.

Mas a idéia de necessidade e transformação nasce da discussão com a utopia. Necessidade e transformação clamam pela irrupção de criatividade e novidade no tempo, cujo caráter é decisivo no instante histórico enquanto destino. Mas, com a irrupção da criatividade e novidade que respondem às necessidades e transformam o tempo concreto, é preciso ter consciência de que não existe um estado de perfeição no tempo, a consciência de que o ideal e perfeito nunca se fixam num presente eterno.

Assim, toda mudança, toda transformação exige uma compreensão do momento vivido que vá além do meramente histórico, do aqui e agora. Deve projetar-se no futuro, deve entender que há na busca permanente da justiça um choque entre necessidade/ transformação e criatividade/ novidade. Tal desafio não pode ser resolvido por uma pessoa, por mais protestante e radical que seja. O sujeito da transformação será, em última instância, o sujeito social, as massas em mobilização. Mas o protestantismo radical, assim como a intelectualidade orgânica têm aí um importante papel a cumprir, serem voz e ação críticas para que o sonho de Amós aconteça no presente concreto: que o juízo corra como as águas e a justiça como ribeiro perene. 




Laborais e conservadores, para reflexionar

Laborais e conservadores, para reflexionar


As eleccións acontecen e os datos están ahi. E así, quere queiramos ou non, vivimos nosos municipios, estados e República as consecuencias das nosas accións nas urnas. Vivimos nun Occidente creado á nosa imaxe. Un Occidente que correlaciona cristianismo, violencia e democracia. E mesmo os protestantes e evanxélicos non están distantes de accións tráxicas. A historia móstranos iso: Martiño Lutero, por exemplo, apoiou os príncipes alemáns contra os anabatistas e os campesiños rebelados. Os anabatistas foron masacrados e cen mil campesiños mortos. Os bolxeviques en Rusia fundamentaron a súa acción política no exemplo dos jacobinos durante a revolución francesa, que eran hugonotes, é dicir, cristiáns xubilados.

Alí no testamento hebreo, unha sabia nai dá consellos a un fillo que sería coroado. E ela di: "Vostede é o meu fillo querido, a resposta das miñas oracións. Que lle direi? Non gaste toda a súa enerxía nin todo o seu diñeiro con mulleres, pois ata reis xa se destruíron así. Escoite, Lemuel! Os reis non deben beber viño nin outras bebidas alcohólicas. Cando beben, non lembran das leis e esquecen os dereitos dos que son explotados. As bebidas alcohólicas son para os que están morrendo, aos que están na miseria. Que beban e esquezan que son pobres e desgraciados! Contacte a favor dos que non poden defenderse. Protexa os dereitos de todos os desamparados. Contacte por eles e sexa un xuíz xusto. Protexa os dereitos dos pobres e dos necesitados ". Proverbios 31.1-9

Consellos que seguen válidos para calquera funcionario público elixido polo voto popular non importa que cargo veña a exercer: vereança ou presidencia da República.

Eleccións no Brasil

Aínda que, todos saiban, ás veces, paga a pena chover no mollado. As eleccións no Brasil acontecen sempre cada dous anos, en anos pares, sendo que a elección do presidente da República pasa xunto coa dos senadores, deputados federais, gobernadores e deputados estaduais. As eleccións municipais, onde se elixe aos alcaldes e os concelleiros acontecen dous anos despois. Á excepción dos senadores, os outros cargos teñen os seus mandatos coa duración de catro anos. As eleccións son consideradas democráticas. Con todo, todos a partir dos dezaoito anos ata os sesenta e cinco anos están obrigados a votar, pois, se non voten deben cumprir unha serie de burocracias ata pagar determinada multa para o goberno.

Isto significa que en relación á cidadanía representativa, traducida nas eleccións, cada dous anos protestantes e evanxélicos deben situarse e escoller o mellor para o país. E é nese momento que son bajulados e implicados con promesas non sempre serias ou reais. Pero, eu diría que o que desexamos non debe ser menos que a raíña nai do príncipe Lemuel propuxo a el.

Moitos políticos, enganados por maqueteiros e polos exageros mediática, pensan que o voto protestante e evanxélico é voto de cabresto, dirixido e manipulado por pastores. Están equivocados. As estatísticas mostran que ata nos agrupamentos evanxélicos máis tradicionais, o momento do elector ante a urna é persoal e intransferible

A pessoalização do fenómeno electoral protestante e evanxélico é a resposta dos cristiáns non católicos aos problemas terreos que todos vivimos. Hai un desprazamento do plan transcendental e tal postura cumpre un papel político: cada protestante ou evanxélico mostra-se autosuficiente de pastor ou doutrinas no momento da urna. Esta pessoalização fronte á súa fe relixiosa, ás súas liderados cuestiona a realidade social desigual e inhumana, e posibilita unha resposta representativa e indirecta fronte aos problemas da nación.

Claro que a posición dos protestantes e evanxélicos non sempre camiña no sentido das sabias palabras da raíña-nai de Lemuel. Entran aí, a presión massificadora mediática e outros factores, algúns sen dúbida persoais e de amizades.

Moita xente pensa que cristianismo protestante e eleccións non se discuten. É o outro lado da moeda. Se por unha banda, hai xente que pensa, como dixemos anteriormente, que voto protestante e evanxélico é voto de cabresto, hai outros que pensan que este tema non debe formar parte do arancel protestante e evanxélica. Ledo erro. Necesitamos reflexionar sobre a relación entre violencia e democracia e, por outra banda, entre estas eo cristianismo. Un simple mirada sobre a historia de Occidente amosa os imbricamentos existentes entre democracia, cristianismo e violencia. Como podemos esquecer, por exemplo, a barbarie da Inquisición? Ou o horror da noite de San Bartolomeu? Ou mesmo a violencia dos invasores cristiáns europeos en América recentemente conquistada? A democracia, e os protestantes e evanxélicos brasileiros entenden esa realidade, conquistada a duras loitas, é o camiño que pavimentamos para poñer de lado a violencia que se fixo como razón de estado ou en nome de Deus. Neste sentido, o primeiro sentido do voto protestante e evanxélico traduce o sentido da defensa da democracia e da liberdade.

Por iso, quizais, nas próximas eleccións - despois do temporal do impeachment - cando os candidatos se dirixiren aos electores protestantes e evanxélicos, engadan aos consellos da raíña-nai do príncipe Lemuel, a pregunta do profeta Miqueas (6.7-8), aos israelís:

"Será que o Señor estará contento si ofrecer miles de carneiro ou miles e miles de ríos de aceite? Será que deberei ofrecer o meu fillo máis vello como sacrificio para pagar os meus pecados e os meus maldades? O SEÑOR xa nos mostrou o que é bo, xa dixo o que esixe de nós. O que quere é que fagamos o que é dereito, que amemos uns ós outros con dedicación e que vivamos en humilde obediencia ao noso Deus ".

Os protestantes e evanxélicos, como todos os brasileiros, desexan respostas de xustiza, paz e alegría. E esas cousas, pero que discursos son accións, que cambian corazóns e mentes.

Chesed veshalom

Chesed veshalom
Graza e paz para os nosos corazóns
Chesed veshalom
Graza e paz a incendiar de alegría as nosas vidas

Segundo libro de Samuel 23.1-7
"Son estas as últimas palabras de David, fillo de Jessé. David foi o home que Deus fixo importante, que o Deus de Xacob escolleu para ser rei e que compuxo as fermosas cancións de Israel. David dixo: O Espírito do Señor fala por medio de min, ea súa mensaxe está nos meus beizos. O Deus de Israel falou, o protector de Israel me dixo: "O rei que goberna con xustiza, que goberna respectando a vontade de Deus é como o nacer do sol nunha madrugada sen nubes, como o sol que fai a herba brillar despois da choiva . "É así que Deus abençoará os meus descendentes, xa que fixo unha alianza eterna comigo, unha alianza ben correcta e segura. Isto é todo o que quero; será esta a miña vitoria, e sei que Deus fará isto. 23.6 Pero os pagáns son como os espiños xogados fóra: ninguén se atreve a pegalos coas mans; para iso é preciso unha ferramenta de ferro ou de madeira; eles serán totalmente queimados no lume ".

Últimas palabras, primeiras palabras, palabras eternas

1. Escollido / rescatado polo Eterno Israel. Cantante e compositor encanto.
2. Cheo do Ruach haKadosh - que fala a través do corazón do poeta, que fala palabras de salvación.
3. El goberna con xustiza, respecta a vontade do Eterno - e por iso é o sol que nace nunha mañá sen nubes, como o sol que fai a herba brillar despois da choiva.
4. O Eterno abençoará seus descendentes - os que están baixo o seu coidado ...
5. Porque estamos falando de Berit / dun acordo, dunha alianza do Eterno.
6. É iso o que quero. É iso o que queremos.
7. E o Eterno fará iso no medio do seu pobo. Ou como dixo o propio David no Salmo 121 - "MeAtah VeAd-Olahm ... Desde agora e para sempre!"

Chesed veshalom - Graza e paz para os nosos corazóns.
Chesed veshalom a incendiar de alegría as nosas vidas.

Amén.

mercredi 30 mars 2016

Luiz Murá, que o Eterno lhe abençoe!


A bênção sacerdotal 

-- em hebraico birkat kohanim, ברכת כהנים --, também conhecida como Nesiat Kapayim, "estender as mãos", ou bênção aarônica, é uma oração judaica recitada durante certos serviços litúrgicos.

Ela é baseada nos versículos de Bamidbar 6.23-27:

“Fala a Arão e a seus filhos, dizendo: Assim abençoareis os filhos de Israel e dir-lhes-eis:

O Eterno te abençoe e te guarde


יְבָרֶכְךָ יְהוָה, וְיִשְׁמְרֶךָ

yevarechecha Adonai veyishmerecha

O Eterno faça resplandecer o rosto sobre ti e tenha misericórdia de ti


יָאֵר יְהוָה פָּנָיו אֵלֶיךָ, וִיחֻנֶּךָּ

ya'er Adonai panav eleicha vichunecha

O Eterno sobre ti levante o rosto e te dê a paz


יִשָּׂא יְהוָה פָּנָיו אֵלֶיךָ, וְיָשֵׂם לְךָ שָׁלוֹם

yissa Adonai panav eleicha veyasem lecha shalom

Assim, porão o meu nome sobre os filhos de Israel, e eu os abençoarei”.

Esta é a minha oração para meu querido Luiz Murá, genro, filho que o Eterno agregou à minha vida, por seu aniversário. Shalom, Luiz Murá!

hadam & hawa -- a condição humana

Metáforas de nossa existência
Jorge Pinheiro, PhD


Para os relatos das origens nos textos antigos da tradição judaica, o humano, construído à imagem e semelhança do eterno é síntese e projeção das forças da criação. E ao ter livre-arbítrio, um atributo da eternidade, tal imagem e semelhança se apresenta enquanto arquétipo conceitual e faz dele humano primordial.

hadam kadmon é uma expressão que traduz a idéia de humano primordial. Faz parte da compreensão de que aquele hadam era matrix, e nele estavam presentes os moveres originais da criação. Assim, hadam kadmon é diferente do hadam ha-rishon, o primeiro. Em hadam kadmon estava a consciência, a-vida, presente a partir daí na espécie. Estes moveres originais de hadam kadmon são os atributos ostensivos que a eternidade deu ao humano, ser coroa da criação, ter vontade específica e atuar no plano da criação a fim de construir seu destino.

A leitura dos textos antigos da tradição judaica não tem como função ou meta a compreensão científica do mundo físico, mas a construção da consciência. Dessa maneira, a revelação do Eterno ao ser humano, através dos textos antigos da tradição judaica, não é de como funciona o mundo e sua realidade, mas como devemos, enquanto pessoas e comunidades, colocar-nos sob missão do Eterno.

Os códigos culturais e de linguagem hoje são diferentes daqueles das épocas onde os relatos das origens surgiram. Assim, a melhor aproximação é analisarmos os relatos das origens nos textos antigos da tradição judaica em comparação com os relatos e tradições presentes nas culturas antigas das épocas referidas.

Existe uma leitura humana de seus relatos arquetípicos, onde se considera as metáforas das suas tradições religiosas como fatos. E como os relatos arquetípicos fundamentam a cultura e a linguagem, passamos a ter então culturas e linguagens que demonizam e segregam pessoas, grupos de pessoas, segundo a origem nacional, raça-etnia, religião e sexo, entre outros características. 

Uma dessas grandes metáforas é a de hawa. E a metáfora hawa traduz os encontros e desencontros de hebreus e povos palestinos nos séculos que antecederam à era comum. E mais tarde, os primeiros cristãos deram sequência a este movimento quando viveram, eles também, encontros e desencontros com as religiões de mistério do mundo greco-romana, com seus cultos à mãe-terra, à deusa-mãe. 

O primeiro cristianismo, que surgiu como facção do judaísmo, por questões de inserção e sobrevivência absorveu elementos da cultura e linguagem do mundo helênico. Estes cultos greco-romanos se inseriam em contextos religiosos e sociais muito antigos e, entre outros elementos, exprimiam a veneração da cor vermelha associada ao sangue menstrual. Na mitologia grega, a mãe dos deuses, Reia, Cibele para os romanos, traduzia a veneração ao próprio conceito de reia, que significa terra ou fluxo. Assim, dentro desta compreensão arquetípica, o humano fora formado a partir do barro vermelho.

A identidade da religião com a mãe-terra, a fertilidade, a origem da vida, aparece enquanto santidade da terra, que é o corpo da deusa. Assim, ao formar o humano, nas leituras sincréticas cristãs a eternidade parte do vermelho da terra e sopra a vida no corpo formado. A eternidade não é corpo, não está presente na forma, mas a mãe-terra está dentro e, também, na totalidade do mundo existente. O corpo de cada um, de cada uma, então, seria feito do corpo dela. Nessas leituras arquetípicas dá-se o reconhecimento da identidade universal de todos humanos.

No capítulo um do livro das origens, macho e fêmea são criados à imagem do Eterno. Algumas interpretações rabínicas consideram esta primeira criação um andrógino, porque a eternidade criou o humano à sua imagem, macho e fêmea. Na maioria das traduções ocidentais lemos que "o Eterno criou o homem à sua imagem, à imagem do Eterno o criou; ele criou homem e mulher (Gênesis 1:27). De fato, no texto hebraico a passagem está no plural: o Eterno criou da-terra à sua imagem, no sentido genérico de humano. Em seguida, o texto diz macho e fêmea foram criados. Não temos aí os pronomes próprios Adão e Eva, mas macho e fêmea.

Só no texto seguinte, no segundo capítulo do livro das origens, outro relato da criação, é que hawa, que tem vida, aparece. E a metáfora se fez relato factual, histórico, que ganhou força no judaísmo e, posteriormente, entre cristãos e muçulmanos. Assim, a metáfora arquetípica, lida a partir de hermenêuticas patriarcais, no correr dos últimos dois mil anos transformou-se em fato fundante das culturas monoteistas. E hawa passou a ser um pedaço de hadam. 

“Então o Senhor Deus fez cair um sono pesado sobre hadam e este adormeceu; e tomou uma das suas costelas, e cerrou a carne em seu lugar; E da costela que o Senhor Deus tomou do homem, formou uma mulher, e trouxe-a a hadam. E disse hadam: Esta é agora osso dos meus ossos, e carne da minha carne; esta será chamada mulher, porquanto do homem foi tomada. Portanto deixará o homem o seu pai e a sua mãe, e apegar-se-á à sua mulher, e serão ambos uma só carne”. (Gênesis 2: 21-24). 

Os estudos da psique, desenvolvidos a partir do século vinte, trabalham com a idéia de que a humanidade, em certa medida, guarda em seu psiquismo os arquétipos das origens enquanto espécie. E as metáforas das origens e de seus desdobramentos calam fundo nas emoções e percepções humanas de forma aparentemente instintiva. E todos entendemos o recado, o ser humano paga um preço ao optar por construir sua liberdade. 

Nesse sentido, hadam e hawa representam a condição humana, são arquétipos de nossa força e fraqueza enquanto humanos, seduzidos sempre por fatores aparentemente externos, como o desejo da conquista do mundo, do poder e do sexo, que nos seduzem de forma paradoxal, tanto para a expansão de limites, o que seria um bem, como para a limitação de nossas possibilidades, o que seria um mal.